Chevaliers lourds marseillais et résidents temporaires : 7 HK
HK 3 HK Chevalier Gaspard de Nans
HK 12 HK Chevalier Foulques de Carcès
HK 22 Don Sancho Soria, chevalier Mozarabe
HK 57 Georges le Magyar
HK 58 Pietro Palazzo
HK 59 Titof le Mystérieux
HK 60 Mandragola le Corse
Pour renforcer le petit noyau de ses plus proches amis, Roncelin charge deux personnages de réunir chacun une petite troupe de chevaliers.
A temps exceptionnels, mesures exceptionnelles, le premier de ces personnages est Mandragola le Corse, auquel il adjoint, sans doute pour sauver les apparences deux chevaliers tributaires de l'abbaye de St-Victor : Gaspard de Nans et Foulques de Carcès.
Pour étoffer leur troupe, ceux ci se raprochent de chevaliers présents à Marseille et désirant pour une raison ou une autre (voir leurs biographies respectives) mettre leur lance au service de la cause.
Un telle troupe de chevaliers sert surtout en terrain découvert. Anne Comnène le reconnait depuis Constantinople : il n'y a rien de plus dévastateur dans le monde connu qu'une charge de chevaliers francs. A la lance d'abord, puis à l'épée ou à la masse d'armes, ils peuvent se frayer un chemin à travers n'importe quelle troupe ennemie et le temps n'est pas encore venu où une organisation méthodique des troupes de jet, comme les fameux archers gallois puis anglais mettra un terme à cette domination.
Point besoin non plus de savantes combinaisons. Les chevaliers sont entrainés une fois pour toutes à charger botte à botte et trouvent rapidement leur place sous la férule de leurs ainés. C'est ainsi que bien que venant des 4 coins de l'Europe, notre petite troupe est déjà suffisamment opérationnelle pour peser sur le champ de bataille.