La Macourie est au XII ème siècle l'un des royaumes chrétiens de Nubie qui peinent à résister à l'influence musulmane venue d'Egypte
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
La Macourie est au XII ème siècle l'un des royaumes chrétiens de Nubie qui peinent à résister à l'influence musulmane venue d'Egypte
Non, le Japon n'a pas envahi la plaine de l'Hérault à la fin du XIIème siècle. Ces armes des seigneurs de Montpellier ne font penser à la bannière du Soleil Levant que par pure coincidence.
À l'époque des croisades, le Pays de Galles était une terre de nombreux royaumes qui rivalisaient les uns avec les autres dans des raids constants ou des guerres ouvertes. Les avantages de la croisade, à la fois spirituelle et terrestre, avaient le même attrait pour les chevaliers gallois que pour ceux du reste de l'Europe, même s'ils devaient voyager plus loin que la plupart pour atteindre la Terre Sainte. Le nombre de ceux qui ont entrepris ce voyage n'est pas connu mais ils n'étaient jamais assez nombreux pour former leur propre contingent dans n'importe quelle armée significative.
Raymond d'Uzès, surnommé Rascas (c'est-à-dire teigneux ou chauve, à la suite de la teigne), encore désigné sous le nom de Rasco, en occitan, hérita du quart de la seigneurie d'Uzès, à la mort de son père, et continua la tige principale.
Ceux que l'Histoire a appelé les Vicomtes de Ventadour n'ont jamais porté ce nom de leur vivant. En toute modestie, ils se contentaient de se faire appeler Vicomte Ebles, Ventadour étant le nom de leur chateau.
Le secret des Baux est perdu depuis longtemps. Les origines de cette puissante famille provençale dont le sang coule dans toutes les dynasties européennes contemporaines, et avant tout la lignée des Princes d'Orange reste auréolée de mystères.
La Seigneurie de Comolas est tout à fait minuscule. Quelques arpents de vigne au bord du Rhône.
Jean d'Aillon n'a pas tout dit ! Mais il nous a donné quelques éléments dans « Marseille 1198 » et dans « Londres 1200 » Dans le premier, Guilhem revient, après une vie d'aventures, dans sa ville de naissance et y lie des relations de confiance avec le Vicomte Roncelin (EHK01) et le viguier Hugues de Fer (EHK18). Dans le second, il s'ennuie quelques mois entre la conquête de son fief de Lamaguère et son départ pour Londres. C'est dans ce créneau que se place sa deuxième mission vers la Cité Phocéenne. Il est chargé par le Comte de Toulouse de rameuter les vassaux situés entre les Cévennes et le Rhône pour appuyer les revendications de Roncelin contre le Comte de Barcelone.