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  • HK 62 Enoch Budzinski Scott

    Ladislas II le Banni (en polonais Władysław II Wygnaniec) (né en 1105 à Cracovie, mort le 30 mai 1159 à Altenbourg (Allemagne)), fils aîné de Boleslas III Bouche-Torse et de Zbysława de Kiev fut Duc de Pologne de 1138 à 1146.

    En 1125, Ladislas épouse Agnès de Babenberg, la fille du margrave d'Autriche Léopold III. Ce mariage permet un rapprochement avec les opposants à l'empereur Lothaire II.

    A la mort de son père, en 1138, Ladislas doit lui succéder, mais il fait face à la fronde de ses demi-frères, soutenus par leur mère Salomé Von Berg.

    Il vole au début sde succès en succès, mais dans sa hâte à reconstituer le Grand Duché de Cracovié il commet l'erreur de s'allier avec les orthodoxes Rus de Kiev et les Prussiens paiens pour mettre le siège à Poznan. L'Eglise Catholique le lâche alors et le déclare anathème

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  • La recette du flocage selon César

    Nous avons surpris un dialogue édifiant qui nous explique tout ce qu'on a toujours voulu savoir sur l'art subtil du soclage.

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  • B5 : Les ordres militaires en réserve

    Les Ordres Religieux de Chevalerie, Hospitaliers, Templiers et même Teutoniques étaient présents à Marseille en 1200.
    Il n'a jamais été question pour eux de s'immiscer dans les querelles locales. La Commanderie des Hospitaliers était installée sur le site de l'actuel Fort Saint-Jean qui leur doit leur nom. A cette date, les Teutoniques viennent juste d'ajouter la dimension militaire à leur vocation hospitalière, tout en se séparant des Hospitaliers auxquels ils étaient jusque là liés. Si des Chevaliers Teutoniques sont présents à Marseille, nul doute qu'ils résident encore à l’Hôpital Saint-Jean, à l'entrée du Port.

     

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  • HK 61 Paul de Lindsay

    En 1189, Guillaume le Lion recouvre l'indépendance de l'Ecosse au Traité de Cantorbéry concédé par Richard Coeur de Lion qui souhaite assurer ses arrières en partant en Croisade. Guillaume de Lindsay, quant à lui possède des terres des deux cotés de la frontière et rend hommage aux deux souverains. Pendant que David, son fils ainé, se prépare à épouser Marjorie, une fille de la famille royale, et à prendre la succession, Paul, né d'une autre mère, part en Croisade avec d'autres chevaliers du Northumberland.
    Alors que Richard entame son long et périlleux retour, Paul a découvert les merveilles de la montagne du Metn, ses forêts de Cèdre et s'est attaché au pays. Certains disent qu'il aurait rencontré Asma, douce chrétienne de la montagne libanaise et qu'il l'aurait épousée et vécu avec elle dans la petite tour dont on voit encore les fondations du coté de Tarchich, à près de 1500 mètres d'altitude, sur la route du Col qui relie le Sud de la Montagne maronite et la ville Orthodoxe de Zahlé.

    On ignore ce qui le pousse à revenir en Europe, mais il semble avoir du gager ses dernioères ressources pour rentrer et le voilà à Marseille en 1200 en quête de quelques subsides afind de financer la fin de son voyage vers Lincoln.
    C'est ainsi qu'avant même que Pierre de Villiers ne rassemble ses deux troupes de chevaliers croisés, Paul a trouvé un engagement comme commandant temporaire des sergents à cheval financés par le Conseil de la Ville de Marseille. Il est chargé de les recruter, les entraîner et de veiller à leur équipement, et pour cela se voit accorder une somme rondelette, abondée par les principaux négociants du Port.

    Malheureusement les sources sont muettes sur les suites, on ne sait donc pas si c'est ce même Paul, ou un homonyme qui décède à Lordscairnie Castle, dans la région de Fife en 1218.

    Cependant une coïncidence surprenante est à noter: la devise de Lindsay reste depuis "Endure Fort". Une traduction en dialecte normand du nom de Bondurand ... A-t-il rencontré Bondurand de Genolhac et lié amitié avec lui? Ramener le souvenir de ses vertus à la maison? Nous ne le saurons jamais.
    Paul porte les armes de Lindsay: De gueules à la fasce échiquetée d'argent et d'azur, il les brise d'une cordelière d'argent en chef. Certaines sources mentionnent également dans la base un coléoptère mâle en argent en pal mais cela est très douteux vu le manque de preuves pour d'autres insectes dans l'héraldique contemporaine du 13ème siècle.

     

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  • B6 : L' Expédition Niçoise (organisation par unités et répartition des troupes)

    Depuis 3 ans, Marseille s'est rebellée contre le Comte de Provence et défend farouchement son indépendance.

    A l'autre bout du Comté, à Nice les avis sont partagés. Pour certains, Marseille est une rivale dont on aimerait bien voir la fierté contenue. Pour d'autres, l'entrée en guerre de Forcalquier et de Toulouse est une occasion inespérée de faire de Nice une République à l'image de Gènes, sa voisine.

    Les indépendantistes ne peuvent envoyer toutes leurs forces à l'autre bout du Comté, mais ne peuvent rester inertes. C'est donc une troupe hétéroclite de cadets de famille, de chevaliers recrutés au delà des Alpes et d'aventuriers divers qui prend le chemin de Marseille.

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  • L'Armée Marseillaise (organisation par unités et répartition détaillée des troupes)

    L'Armée

    En l'an 1200 les armées sont composées de « batailles » subdivisées en troupes.

     

    En réserve se tiennent des troupes des ordres de chevalerie des commanderies locales ou en transit pour la Terre Sainte et qui n'interviendront que si la situation politique le leur permet ou contre un raid sarrasin toujours possible. Les Alliés Niçois forment aussi une bataille à part.

    B1 Bataille des Marseillais (centre)
    B2 Bataille des Croisés (réserve)
    B3 Bataille des Toulousains (droite)
    B4 Bataille de Forcalquier (gauche)
    B5 Bataille des Ordres de Chevalerie (2ème réserve)
    B6 Bataille des Niçois (alliés)

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  • Godeffroi d'Hérail (Officier niçois d'infanterie montée)

    Godeffroi d'Hérail blasonne « d'azur au navire d'or, fretté, équipé, voilé d'argent, flottant sur des ondes de même ».

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  • Arnaud de Roquefeuil

    Arnaud de Roquefeuil blasonne « De gueules à la cordelière d'or ».

     

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