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Organisation et Unités - Page 3

  • u305- 20 Arbalétriers languedociens LMI Abl (rouges et or)

    Méprisés et redoutés, les arbalétriers sont au centre de toutes les polémiques. Le Pape tente à plusieurs reprises de les interdire, ou au moins d'en interdire l'usage contre les chrétiens. La mort de Richard Coeur de Lion, quelques mois auparavant d'un carreau d'arbalète sous les murs de Chalus n'a pas arrangé leur réputation.

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  • u304- Sergents à cheval du Comté de Toulouse

    Au Moyen Âge, les sergents d’armes sont des soldats permanents, qui ne sont au départ que des forces d’appoint en campagne. Ils sont au service de simples chevaliers, ou de villes, d'évêques, d'abbayes ou même de corporations. Au combat, ils pouvaient être engagés en bataillons complets, et chargés de soutenir, voire de remplacer, les chevaliers, ou parfois être chargés de diriger individuellement des groupes de guerriers moins expérimentés.

    Chez les Templiers ou l'ordre Teutonique, la majorité des combattants étaient appelés sergents, car le statut de chevalier était réservé aux membres d'origine noble.

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  • u303- La Troupe de Montpellier

    En route pour sa campagne de 1200 en Provence, Comminges revient à Montpellier, il s'attarde quelques jours chez son beau-frère, Guilhem, Comte souverain de cette ville.

     Seigneur lettré, ouvert et tolérant, fondateur de la fameuse école de Médecine de sa ville, Guilhem entretient une petite cour où fleurit la poésie courtoise de langue d'oc. Il accueille notamment à sa cour Arnaut de Mareuil, un des plus célèbres troubadours de son époque.

    Rien, aucun traité, aucune obligation vassalique, n'oblige Montpellier à se joindre à ce combat. C'est pourtant ce qu'il fait, par amitié ou par calcul? nul ne le saura. Toujours est-il qu'il ne mobilise guère ni ses bourgeois ni ses propres vassaux, et c'est entouré de chevaliers de la région, vassaux de Toulouse et de quelques aventuriers de passage qu'il rejoint Orange, ville appartenant au Seigneur des Baux, où se concentre le détachement Toulousain.
    Parmi ces chevaliers, on trouve notamment d'autres lettrés, comme Paul Garance, venu de sa lointaine Armorique et que Guillhem charge de protéger son flanc découvert.

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  • u302- Chevaliers Toulousains et Baussenques

    Faire combattre ensemble alliés et vassaux n'était pas toujours chose facile. Le statut social de la chevalerie pouvait causer bien des tracas aux chefs d'armée qui devaient composer avec les susceptibilités des uns et des autres, leurs motivations variables, leurs querelles privées.

    Un prince comme Hugues IV des Baux pouvait être tenté de jouer sa propre carte comme sa famille l'avait fait tout au long du siècle précédent. Ce n'est donc certainement pas un hasard si Bernard de Comminges s'est arrangé pour l'encadrer du subtil Guilhem d'Ussel et du solide Bondurand de Genolhac. Il a aussi affecté à cette unité Ebles de Ventadour, vassal de Duc d'Aquitaine dont on se méfie.

    Mais, politique mise à part, nous avons là une fort belle troupe de chevaliers. Bien montée, bien armée et dont la vaillance peut renverser à peu près tout ce qu'on pouvait trouver sur un champ de bataille à l'époque.

    Les chevaux eux mêmes ont reçu un caparaçon pour leur protection, surtout contre les traits de l'infanterie, et ces chevaliers constituent donc le fer de lance de la Bataille Toulousaine.

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  • u301 - Comte Bernard de Comminges, Général de la Bataille des Toulousains

    Cousin et homme de confiance du Comte de Toulouse, Bernard IV de Comminges commande une belle troupe variée de chevaliers, de sergents à cheval, mais aussi de gens de pied, lanciers et arbalétriers.

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  • B3 : La Bataille des Toulousains

    Le comte de Comminges commande une troupe importante recrutée principalement dans la partie orientale du gigantesque Comté de Toulouse. Prince indépendant, Le Seigneur de Montpellier commande la moitié de la cavalerie, l'autre, qui protège naturellement son général, étant sous les ordres du Prince d'Orange, Comte des Baux. Une nombreuse infanterie témoigne de la puissance de ces derniers, titulaires du marquisat de Provence. Pour compléter les forces languedociennes, les plus puissants des seigneurs ont aussi recrutés des sergents à pied et à cheval.

     

    u301- Sous Général Comte Bernard de Comminges (31) légat du Comte de Toulouse

    u302- Troupe de 7 chevaliers extra lourds

    u303- Troupe des 7 chevaliers lourds

    u304- 10 sergents à cheval MC (sergents, Toulouse)

    u305- 20 Arbalétriers languedociens LMI Abl (rouges et or)

    u306- 14 lanciers Languedociens des villes MI LL Bcl

    u307- 14 lanciers Baussenques MI LL Bcl

    u308- 10 sergents lanciers lourds des seigneuries HI LL Bcl (variés comme chevaliers toulousains)

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  • u203- Les croisés d'Aubagne

    Les yeux bleus profonds de Zuzana s'étaient embués.
    Détruit, tout est détruit ,répétait Jiri
    McLeod, muet serrait les épaules charmantes que couvraient la noire chevelure dénouée de son épouse.
    - Et l'oncle Peter ?
    - Il est arrivé trop tard. Les polonais avaient déjà décampé.
    Rioc n'avait surpris que la fin de la conversation. Il se débarassa de sa cape noire à la broche d'argent et de turquoises.
    - Des soucis les amis ? Avez vous reçu une réponse de Tchadsa ?
    Hélas oui, mon ami. Le manoir familial a été rasé par les polonais. Depuis la mort de notre père, l'oncle Peter veillait de loin à nos intérêts, mais nos hommes ont négligé les défenses pour cultiver leurs terres. Quand les Polonais sont arrivés par surprise, ils ont pu pénétrer jusqu'au cœur de ntore domaine. Ils ont enlevé quelques femmes, pillé ce qu'ils ont pu et brûlé le reste. Nous n'avons plus rien. Et l'oncle Peter n'a guère plus à nous offrir que le gîte et une maigre pitance.
    - Nous irons reconquérir vos terres et rebâtir un manoir encore plus solide ,répliqua McLeod.
     
    Un silence pesant s'installa.
     
    - Ou alors, vous pourriez venir tous les trois sur mes terres... dit enfin le Seigneur breton.
    - Ta générosité nous honore, Rioc, mais nous ne voulons pas être une charge...
    - Bien au contraire ! J'ai besoin de bras solides pour les défendre ! Mes saulniers sont sous la menace des maraudeurs et des pirates qui viennent voler le sel de nos lagunes. Vous me rendriez un fier service en installant un donjon pour protéger mes gens et mes ressources. Et avec vous, au moins, je sais que j'aurais de fidèles amis pour protéger mes arrières pendant que je défendrai mon fief d'Assérac. Mais pour le moment c'est ici que j'ai besoin de vous.
    - Même sans cela, tu pouvais compter sur nous répondirent à l'unisson McLeod et Jiri.
     
    Rioc revenait d'une réunion importante avec Sire Roncelin et Villiers.
    - Villiers a accepté de prêter main forte à Roncelin. Il va poster nos amis picards et brabançons au Nord de Marseille. Il me charge de recruter des volontaires pour défendre la vallée de l'Huvaune, à l'Est de la Vicomté.
     
    En quelques jours, la petite troupe s'agrandit. Elle alla s'installer sur une colline, en face du château d'Aubagne, tenu par l'abbaye de Saint-Victor. Le lieu avait été choisi pour verrouiller la plaine de l'Huvaune à l'un des rares endroits où elle n'est pas infestée de marécages. Bien plus tard, c'est au même endroit que s'installera la caserne du 1er REI, rapatrié de Sidi-bel-Abbès.

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  • u202- Les Croisés de Septêmes

    Quand ils sont loin de chez eux, les hommes ont une tendance naturelle à rechercher la compagnie de leurs compatriotes. C'est ainsi qu'Outremer, dans le brassage des européens de toutes origines et des chevaliers locaux, descendants de premiers croisés, les nobles pélerins se regroupaient souvent par affinités géographiques et liaient ainsi des amitiés parfois surprenantes car elles transcendaient souvent les rivalités locales que l'Europe connaissait.

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